Le château
La façade arrière
Ce sont des vues moins courantes, non visibles du domaine public, comme les vues de la façade droite. L'entrée principale et la façade gauche, vue du Pureau, sont beaucoup plus souvent représentées.
Les vues sont présentées de la plus ancienne à la plus récente.
Un angle de vue inhabituel pour cette photo d'environ 1904. Beaucoup de volets intérieurs fermés au premier étage, tandis que du côté droit du deuxième étage, les fenêtres sont grand ouvertes.
Un personnage portant canotier, probablement le comte Philippe (1866 - 1937) pose sur le pont, sur lequel le chevrefeuille est bien en fleurs. Au deuxième étage à droite, les mêmes cinq fenêtres que ci-dessus sont ouvertes. Tout à fait à l'arrière-plan, à gauche, les arbres de la drève sont encore fort jeunes.
Deux jeunes demoiselles et deux enfants, peut-être Baudouin et Jacqueline de LANNOY, posent sur le pont, sous le regard de quelques jeunes filles, au deuxième étage. Presque tous les volets intérieurs du premier étage sont fermés.
Les arbres de la drève, tout au fond à gauche, sont déjà bien dénudés. Le chevrefeuille a fini de fleurir, tandis que les parterres à l'avant-plan sont déjà bechés.
Les buis nouvellement plantés, en bordure de l'allée, ont été protégés des lapins et des chevreuils par un grillage.
Les jardins à la française à l'arrière du château, disparus de nos jours. Les parterres à l'avant-plan semblent avoir été béchés, probablement pour préparer l'arrivée de l'hiver. De nombreuses fenêtres sont fermées par leurs volets intérieurs.
D'autres cartes représentent le château depuis l'entrée principale, dans la dréve. Il existe également quelques vues de la façade droite, ou depuis la drève du Pureau, avec l'étang en avant-plan.
- Delhaye, Willy. Histoire de Frasnes-Lez-Anvaing: Anvaing, Hacquegnies, Moustier, Buissenal et Oeudeghien. D'Ouest en Est. III. Ath: Annales du Cercle Royal d'Histoire et d'Archéologie d'Ath et de la région et musées athois, 2004
- de Lannoy, Baudouin. Anvaing, dans La maison d'hier et d'aujourd'hui, mars 1978, N°37, pp 48-77